La prise de poids liée à l’âge
Soins anticellulite quand l’âge avance
Nutrition pour changer la silhouette
Sport pour la silhouette et le surpoids
La cellulite et son effet de « peau d’orange » peuvent apparaitre très tôt chez la femme après sa puberté. Hantise de la plupart des femmes, elle n’est pas liée au vieillissement (comme le sont les rides par exemple) mais plutôt au terrain hormonal, à la circulation sanguine, à l’hygiène alimentaire et à la sédentarité.
Néanmoins, la cellulite du corps évolue avec l’âge et son aspect, sa sévérité ou ses traitements ne sont pas les mêmes à 40 ans (et après) que pour les femmes de 20 ans.
Comment la graisse devient cellulite
Les 3 causes de l’installation de la cellulite sont :
– prise de volume excessive des cellules graisseuses (aggravée par la prise de poids),
– rétention d’eau ou œdème (aggravée par la sédentarité, la mauvaise circulation, le terrain hormonal trop oestrogénique, certaines pilules contraceptives, les polluants perturbateurs endocriniens…),
– fibrose et induration des tissus (aggravée par la mauvaise circulation, la glycation liée à l’excès de sucres alimentaires, la mauvaise oxygénation du corps, la sédentarité, l’encrassement toxinique…).
Ces facteurs s’aggravent les uns les autres et aboutissent au phénomène de « peau d’orange ». Celle-ci est plus ou moins importante selon l’atteinte des tissus et son ancienneté. Les différents facteurs doivent être traités simultanément dans leur ensemble : circulation, terrain hormonal, accumulation de toxines, oxydation des tissus, etc…
La cellulite change avec l’âge
En vieillissant, les facteurs d’aggravation de la cellulite se modifient ainsi :
Circulation locale veineuse et lymphatique moins bonne
Avec le temps, la circulation se fait plus lentement et les vaisseaux perdent progressivement la tonicité et la souplesse de leurs parois, surtout si le sujet connait un stress oxydant ou des facteurs de glycation importants. Ceci va donner tendance à la cellulite de s’étendre vers les genoux et le bas des jambes. La cellulite devient plus diffuse, surtout si la circulation lymphatique se fait mal.
Diminution du terrain hormonal progestéronique en préménopause
Pendant les 4 ou 5 années qui précèdent la ménopause, l’hormone progestérone diminue plus vite que les oestrogènes. Ceci crée un climat hyper-oestrogénique avec tendance aux oedèmes et aux gonflements, à la prise de poids, à une moins bonne circulation, à un stockage facilité des graisses, etc… Ce climat est donc défavorable à la cellulite et en particulier à celle qui se situe sous la ceinture, qui est plus dépendante de ces hormones.
Puis diminution du terrain oestrogénique après la ménopause
Après la ménopause les oestrogènes viennent à manquer. A partir de là, la cellulite du bas du corps a tendance à diminuer de volume, au profit de celle du haut du corps. Ainsi, si l’on prend du poids à ce moment là, il se déposera plus volontiers sur l’abdomen, la poitrine et le haut du corps.
Diminution de la tendance à la fibrose
Le corps fabrique moins facilement les fibres de collagène en vieillissant (donc il y a moins de réaction de fibrose). Ainsi, l’induration de la cellulite diminue. Les zones de cellulite très dures deviennent plus souples. Il s’agit, en partie, d’une amélioration mais, en fait, un relâchement cutané apparait avec le temps, aggravant généralement l’aspect de « peau d’orange », mais c’est un autre problème, à distinguer.
Gérer globalement cellulite et peau d’orange en prenant de l’âge
La Médecine Intégrale nti-âge dispose de soins généraux s’adressant à l’ensemble du corps et aux causes profondes d’aggravation de la cellulite. On y retrouve les 3 temps de la revitalisation :
1. La détoxication pour nettoyer le corps
Première précaution : dans la mesure où, en prenant de l’âge, le corps élimine moins facilement les toxines et les calories, adoptez une alimentation plutôt légère, voire hypotoxique, en général ou par cures de quelques semaines. Très souvent, dans les problèmes de cellulite diffuse, le foie est encombré.
Nettoyez régulièrement votre corps de ses toxines. Si votre circulation est ralentie, les toxines et l’oedème ont tendance à se déposer dans le bas du corps. La marche, la natation, le vélo, le jogging, vous aideront à activer la circulation et le drainage dans les jambes et les cuisses. Buvez plus d’eau pure et n’exagérez pas avec le sel dans les aliments si vous avez tendance aux gonflements matinaux et à l’oedème.
La constipation doit aussi être combattue car elle peut aggraver les problèmes de cellulite.
2. La nutrithérapie pour combler les besoins en nutriments
Il faut rechercher des possibles carences en nutriments lors des problèmes de cellulite. Souvent, un manque de protéines de bonne qualité est présent, associé à un excès d’aliments sucrés ou de féculents et farines de céréales très raffinées, pauvres en fibres alimentaires.
La silice est un minéral important au niveau de la souplesse et de la tonicité des tissus. Elle diminue généralement dans le corps avec l’âge car elle devient moins bien absorbée par notre système digestif. Un complément de silice colloïdale peut-être intéressant surtout en cas de problèmes de circulation veineuse.
Les manques de vitamine C, vitamine A vitamine E, vitamine B3 et de sélénium sont souvent associés aux troubles circulatoires.
La stimulation des fonctions ralenties
– équilibrage du terrain hormonal : il faut chercher à améliorer une rupture du terrain hormonal trop franche ou entrainant trop d’effets désagréables. L’amélioration ou le rétablissement des niveaux hormonaux fait partie des traitements contre le vieillissement. Avant de recourir aux hormones bio-identiques des solutions homéo ou phytothérapiques peuvent être utilisées.
– stimulation de la circulation sanguine : toute activation de la circulation étant bénéfique pour la circulation, les plantes veinotoniques comme le ginko biloba, le mélilot, le petit houx, etc… pourront être intéressants (voir problèmes de circulation).
Enfin, les problèmes de statique, de posture et de musculature peuvent jouer un rôle non négligeable.
La cellulite connaît donc de multiples causes. Des traitements généraux doivent être prescrits selon chaque cas. Ils améliorent considérablement les résultats de tout traitement local.
Les soins locaux contre la cellulite
Les soins anticellulite visent tous à traiter les trois causes vues ci-dessus dans des zones précises du corps où se dépose la graisse indésirable (ventre, culotte de cheval, genoux, hanches…). Voici les soins intéressants contre la cellulite et la peau d’orange.
Les crèmes anticellulite
Elles agissent généralement par un effet lipolytique (c’est-à-dire qu’elles augmentent la capacité des cellules graisseuse à libérer la graisse qu’elles contiennent) ou bien par effet sur la micro-circulation locale (l’augmentation de la circulation locale va favoriser la décongestion des tissus, leur drainage et lutter contre l’oedème). Elles peuvent avoir plusieurs effets associés.
Il faut choisir des crèmes ou des gels ayant un bon pouvoir de pénétration de leurs principes actifs à travers la peau. Ce sont des traitements réalisables chez soi. Ils peuvent être de bon compléments aux techniques médicales, ou un excellent relais pour continuer seule les soins avec régularité.
Les crèmes activant la micro-circulation et/ou le retour veineux sont souvent utilisées, ainsi que les préparations ayant un effet anti-oedémateux. Elles tendent donc à réduire le facteur aggravant de la cellulite qui est la mauvaise circulation locale.
La caféine est le principe actif qui semble être le plus prescrit par les médecins (étude Indice Médical) dans la lute contre la cellulite. Ses propriétés sont aujourd’hui bien connues : diminue l’oedème, régularise le tonus vasculaire, et augmente la lipolyse et de plus, limite le stockage des graisses (G.Bereziat CNRS).
Les huiles essentielles et certaines algues et des plantes ont aussi prouvé la pénétration de leurs principes actifs sous la peau.
Massages pour réduire la cellulite
Les massages ont, de tout temps, été utilisés pour l’amincissement. Ils ne font pas tout mais ils activent la microcirculation locale des zones cellulitiques. Ils aident la pénétration d’actifs comme les huiles essentielles ou la caféine…
Des études récentes ont montré que certaines techniques de massage mécanique (mécanotransduction°) activaient la lipolyse (vidange des cellules graisseuses, diminuant leur volume) dans les zones traitées. Des diminutions significatives d’épaisseur des capitons cellulitiques ont été confirmées avec cette seule technique.
Les massages toniques stimulant la peau (manuels ou mécaniques) sont intéressants chez les femmes plus mures car ils s’adressent, en même temps, au traitement du relâchement cutané.
Les massages mécaniques (type palper-rouler) diminuent la fibrose, décongestionnent et tonifient les tissus. L’assouplissement des tissus qui en résulte permet d’améliorer progressivement l’aspect matelassé de « peau d’orange ». Il faut effectuer des cures de 10 à 15 séances de massages, 2 fois par semaine, en moyenne.
Les massages manuels donnés selon les règles ayurvédiques (ou chinoises) sont intéressants dans leur approche de rééquilibrage énergétique.
La mésothérapie avec ou sans aiguille contre la peau d’orange
La mésothérapie est un des plus anciens traitements médicaux contre la cellulite. Il s’agit d’effectuer des micro-injections dans le derme, de produits à visée circulatoire, drainante et décongestive, en regard des zones de cellulite. Aujourd’hui il existe aussi des systèmes permettant de faire diffuser les produits sous la peau vers la graisse, sans utiliser d’aiguille et donc sans lésion de la peau ni douleur.
On utilise la mésothérapie pour améliorer la microcirculation locale et la qualité de la peau mais pas pour détruire ou réduire le volume des cellules graisseuses. Ceci permet une décongestion et un meilleur drainage des tissus. Elle est donc plus intéressante pour les zones situées sur le bas du corps, là où l’on retrouve plus souvent des troubles circulatoires.
Il faut effectuer huit à dix séances, à une ou deux semaines d’intervalle. On utilisera volontiers des minéraux ou extraits de plantes et algues, associés à des substances antioxydantes, voire des micronutriments selon les besoins de la peau de la personne.
Les traitements anti-cellulite par agents physiques
Diverses méthodes sont proposées aujourd’hui pour traiter la cellulite, utilisant les courants électriques, les ondes radio, les ondes acoustiques, le froid ou les ultrasons. Ils sont appliqués grâce à des plaques ou des électrodes selon le cas, placées sur les zones à traiter.
Les principes sont généralement les mêmes : améliorer la microcirculation locale de façon à drainer les tissus cellulitiques (action anti-oedémateuse) et à les décongestionner. Ainsi les cellules graisseuses peuvent mieux se vider, la congestion et la fibrose sont moins fortes et l’aspect peau d’orange s’améliore.
Dans l’état actuel des connaissances sur le sujet, nous retenons surtout ici, les ultrasons et les ondes acoustiques selon certaines conditions de puissance et de fréquence.
Les techniques d’application de froid intense (cryolipolyse) sur certaines zones du corps paraissent, si elles sont bien utilisées, pouvoir réduire des volumes de graisse ou de cellulite localisés. Elles donnent de meilleurs résultats sur le ventre et les hanches, cependant, elles ont peu d’action sur l’aspect de la peau.
Les ondes courtes ou radio sont peut-être intéressantes, notamment sur l’aspect et la tonicité de la peau mais demandent plus d’études. Il faudra aussi s’assurer de l’innocuité de ces ondes sur l’organisme à long terme (ce qui reste encore une inconnue).
Réduire les amas graisseux et améliorer la silhouette
Il s’agit de techniques médicales capables de réduire un volume de cellulite localisé en diminuant progressivement le nombre des cellules (adipocytes) qui le constituent. Cette réduction de la cellulite localisée entraînera un affinement durable de la silhouette à l’endroit traité.cIci, on n’aspire pas la graisse comme en lipoaspiration mais son épaisseur se réduit petit à petit.
Il existe diverses techniques que l’on peut associer entre elles. Ainsi, on les applique avec une intensité modérée mais leur association en potentialise les résultats. Ce sont :
– application d’ondes acoustiques
– emploi d’ultrasons pour favoriser la lésion des membranes cellulaires
– avec ou sans injections de solutés neutres favorisant l’action de ces agents physiques
– l’application de très basses températures (froid intense, lipo-cryothérapie)
– associations de palper-rouler mécanique, drainages, ondes électromagnétiques, infrarouges, etc…
Ces traitements emploient des agents physiques agissant essentiellement sur les cellules graisseuses. Appliqués par des mains expertes, leurs effets secondaires sont quasi absents. Ils excluent les substances médicamenteuses qui sont toxiques pour l’organisme.
Dans quels cas réduire les volumes graisseux ?
Tout comme la lipoaspiration, les techniques de réduction des zones cellulitiques ne font pas «maigrir» et ne traitent pas les problèmes de surpoids. Elles s’adressent aux problèmes de silhouette dus à des excès de cellulite localisée (culotte de cheval, genoux, ventre, hanches, etc…).
Les associations de techniques adaptées à chaque cas semblent être plus efficaces, plus sécurisantes et bien supportées.
Comment se déroulent ces traitements
Les techniques choisies sont appliquées successivement sur la zone à traiter. Une contention élastique (panty) est préférable pendant les jours qui suivent chaque séance.
Le nombre de séances nécessaires pour obtenir une réduction suffisante de l’épaisseur de cellulite varie entre 2 et 6 en moyenne, pour des résultats pouvant être équivalents à une lipoaspiration si l’épaisseur de graisse est modérée et durant tout autant dans le temps.
Entre les séances, on draine les zones traitées, ceci affine encore la zone et il est conseillé de tonifier la peau avec des massages.
Avantages et inconvénients
Avantages pour les peaux plus âgées
Ces méthodes peuvent se pratiquer sur tous les types de peau sans risque de relâchement ou d’effets « creux et bosses ». Avec l’âge qui avance, la peau est moins tonique et on peut craindre des résultats médiocres au niveau de l’aspect de la peau après lipoaspiration.
La correction est progressive et durable. C’est un traitement amincissant “à la carte” et personnalisable.
L’intervention est très légère, ne nécessite pas d’ouverture de la peau, tout au plus des piqures. Les suites sont simples (1 à 2 jours de gêne en moyenne).
Inconvénients
Il faut plusieurs séances pour obtenir le résultat final (3 à 6 selon les techniques associées et le cas à traiter). Le médecin doit connaître les risques et éviter d’être trop agressif. Parfois les bleus sont plus présents après ces interventions chez les sujets plus âgés et aux vaisseaux plus fragiles.
Précautions dans les traitements combinés de liporéduction
Le médecin, selon son expérience et après estimation de chaque cas, évalue l’utilisation de techniques associées. Même si les suites sont généralement simples, cet acte doit être réalisé dans de sérieuses conditions de sécurité et par un praticien bien formé à l’anatomie et aux différentes techniques.
Il faudra toujours se tenir à une quantité modérée de tissu graisseux traité à chaque séance, afin que le corps puisse intégrer sans risque et à son rythme cette réduction d’une partie des cellules graisseuses. C’est le nombre de séances qui permettra de traiter des volumes plus importants et non le fait de faire des séances plus importantes.
L’intégration du soin anti-cellulite
En Médecine Intégrale Anti-âge, il faut systématiquement considérer pour chaque soin effectué :
- l’intérêt de combiner les techniques : en choisissant les plus adaptées selon la personne. Cela permet, le plus souvent, de potentialiser les effets, pour de meilleurs résultats.
- l’emploi des produits cosmétiques : ils ont un intérêt certain à la condition d’avoir prouvé leur faculté de pénétration dans le tissu sous-cutané. Il s’agit alors de produits comme les huiles essentielles, la caféine, certaines plantes et algues…
- le respect de l’équilibre local. Ceci se fait en fonction du type de peau et de réactions possibles selon la constitution du sujet traité. Par exemple, chez un sujet anabolique à la cellulite froide et infiltrée d’eau, à la circulation plus ralentie, les techniques apportant de la chaleur, de l’énergie et du mouvement seront plus indiquées ainsi que les crèmes qui « chauffent ». A l’inverse, chez un sujet métabolique, avec une cellulite chaude, peu infiltrée d’eau, l’application de froid (cryothérapie) sera vraisemblablement plus intéressante ainsi que les crèmes qui « rafraichissent ». On cherche donc toujours à aller vers la restauration de l’équilibre local (le chaud contre le froid, le mouvement contre la stase et l’encombrement, etc…)..
- l’équilibre pondéral : le poids est-il stabilisé ? les apports nutritionnels sont-ils équilibrés en quantité comme en qualité ? le terrain hormonal est-il bon ?
- la posture de la personne et sa musculature : elles jouent énormément sur la répartition des graisses corporelles et des amas cellulitiques.
- enfin, n’oublions pas d’adopter une bonne hygiène de vie, en particulier une alimentation saine et de l’exercice physique.
Les traitements sont alors bien plus efficaces et les résultats plus durables.
bien , mais quels conseil pour un relâchement cutané majeur, perte de de l’élasticité de la peau , peau ridée .. à le période des60 ans révolus(ventre, cuisses, genoux voire mollets ),suite à des traitements avec prise de poids puis perte de poids . quelles solutions proposez vous .pour ce relâchement cutané – psychologiquement mal toléré. la pratique du sport , une nutrition a nouveau adaptée m’ont aidée a retrouver une silhouette très satisfaisante , le pb est autre qd on regarde sa nudité dans le miroir .
merci cordialement
Le relâchement de la peau que vous décrivez est tout à fait différent du problème de cellulite, et on peut avoir l’un sans l’autre. Il est vrai que beaucoup de femmes voyant leur peau devenir flasque et moins lisse, notamment après la cinquantaine, confondent cela avec la cellulite. En fait il s’agit d’une perte de tonus et d’élasticité de la peau relative à l’avancée en âge. Elle est liée à plusieurs phénomènes conduisant à l’affinement de la peau et à une diminution des fibres d’élastine.
Vous trouverez les réponses à vos question dans cet article sur le relâchement cutané. Vous y comprendrez qu’il y a une grande part de prévention pour conserver le mieux possible nos fibres d’élastine. Mais il n’est jamais trop tard, et certains traitements existent pour tenter de raffermir la peau comme vous le verrez.
PS : toutefois il est vrai que comme vous le précisez, l’exercice ameliore notablement, notamment das le bas du corps, je l’ai constaté depuis que je pratique la marche rapide.
Sinon, comment faire pour trouver un medecin pour ces problemes de l’age ? la generaliste que je vois est vraiment debordee de patients et n’a pas vraiment de temps (ni de motivation) à consacrer à ce qui sort du cadre des problemes de santé proprement dits, or je n’ai que des soucis d’ordre esthetique et psychique pour le moment…
Bonjour,
en ce qui me concerne ça n’a pas du tout diminué au bas du corps, au contraire je n’en avais pas et avais toujours tendance même très jeune à prendre du ventre et des bras mais pas des cuisses. Mais avec cette chose, j’ai fais connaissance avec les cuisses grasses et le volume fessier. D’autant plus desagreable que je ne m’explique pas que ce soit toujours là. Par ailleurs j’ai de la peau d’orange sur tout le corps, jusque sur des zones pourtant peu grasses comme les avant bras. seuls mes mains pieds éoaules et base du cou sont épargnés alors que je n’avais aucune cellulite (hormis sur les bras c’est sans doute là où j’en ai le plus avec les cuisses). Meme en m’informant sur le sujet j’ai du mal à comprendre pourquoi moi, qui etais à la base plutot maigre, d’ailleurs…